Avec ses deux confinements, l’année 2020 décroche le titre de “l’année du no bra” haut la main. Et on ne parle pas uniquement du plaisir de passer un dimanche chez soi sans soutien gorge... Non, cette fois-ci, le #NoBra, c’est du sérieux. C’est même devenu une affaire quotidienne.
Les mentalités ne sont pas les seules à évoluer : alors que de plus en plus de femmes décident d'arrêter de le porter, de plus en plus d’études démontrent les conséquences négatives d’un port trop prononcé de soutien-gorge.
On passe toutes ces données en revue pour que tu puisses te balader où tu veux, quand tu veux sans bra… ni culpabilité !
Le boom du no bra 💥
Flashback en Mars 2020 : le confinement arrive avec son lot de privations… sauf pour la poitrine des femmes ! À l’abri des regards et jugements extérieurs, ces dernières peuvent (enfin) décider de laisser leurs seins libres... Everyday si elle le souhaitent !
Un étude Ifop (juillet 2020) permet d’affirmer ce qu’on a pu constater dans l’équipe de Moodz par exemple : “Aujourd’hui, une jeune fille sur six (18%) de moins de 25 ans ne porte jamais de soutien-gorge, soit une proportion quatre fois supérieure à celle mesurée avant le confinement (4%). Malgré un retour à des conditions de vie plus « normales »”. En d’autres mots, “les adeptes du no bra restent quasiment aussi nombreuses que durant le confinement (20% en avril)”. Bref. Chez les jeunes françaises, le no bra devient la nouvelle norme. Freeeeedom!
Pourquoi on abandonne nos soutiens-gorge ? 👙
Image : @mrzyk_moriceau
Toujours d’après l’Ifop, 53% des femmes pratiquant le no bra de côté le font par confort, alors que 15% d’entre elles le font par conviction féministe. Autrement dit, elle considèrent qu’elle ont autant le droit que les hommes d'afficher leurs poitrines, tétons compris #FreeTheNipple.
Pour la majorité des femmes, donc, soutien-gorge = inconfort, à cause :
- d’armatures qui gênent et/ou font mal,
- d’une sensation d’oppression (ce qui explique pourquoi le moment où on l’enlève = clairement le meilleur moment de la journée),
- de marques dans le dos (outch),
- de soutiens-gorge parfois stylés, mais pas toujours adaptés à nos morphologies...
Pas de bra, pas de seins qui pendent ! 🍊
Image : @gabbois
Des spécialistes ont mis le doigt sur les conséquences positives du no bra : ils ont prouvé que tes seins sont naturellement soutenus par tes clavicules. Donc plus tu comptes sur des soutiens-gorge pour les soutenir (temporairement, a.k.a que le temps que tu les portes), moins ils se renforcent par eux-même et pire, plus ils s'affaissent !
Les bienfaits du no bra, c’est le sujet sur lequel s’est penché le Dr Jean-Denis Rouillon, médecin du sport à Besançon. Il est allé encore plus loin dans les effets positifs de l’abandon du soutien-gorge :
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Number 1 : ta poitrine va se raffermir et son aspect va s’améliorer
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Number 2 : tes mamelons vont remonter et se redresser
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Number 3 : l’écart entre tes seins va diminuer et leur volume augmenter (un peu seulement, c’est pas chirurgie party non plus)
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Number 4 : tes vergetures vont s’estomper !
Bref, plus ta poitrine sera libre, plus elle reprendra (au fil du temps) l’aspect qu’elle devrait avoir naturellement.
Malgré tout, un soutien-gorge intelligent 💡
Un jeune mexicain a développé un soutien-gorge doté de 200 biocapteurs capables de détecter un cancer du sein. Cet objet révolutionnaire s’appelle EVA et repère des changements de température, de forme ou de poids synonymes de présence d’une tumeur… en seulement une heure !
Si tu aimes trop les soutiens-gorge, tu peux peut-être opter pour des modèles sans armatures, à voir bien sûr selon ta morphologie. Quel que soit le modèle utilisé, essaye de ne pas dépasser les 12h quotidiennes de port, et de libérer ta poitrine aussi souvent que possible ! Et heureusement pour toi, si tu aimes les beaux sous-vêtements, nos culottes menstruelles #Moodz seront toujours là ! 🤩✨
Sources :
(2) Freetheboobies.fr
